En tant qu’auteur, toute votre attention doit se porter sur la valeur du texte.
Les facilités de présentation offertes par votre logiciels de traitement de texte, ne doit pas vous influencer pour la construction ou la présentation de votre manuscrit. Il est en effet vraiment rare qu’un ouvrage conserve la disposition typographique d’origine. L’editeur conposera le livre en fonction de sa politique éditoriale et graphique.
Nous vous conseillons de ne pas jouez pas avec les polices, ou de sursaturer votre manuscrit d’effets. Ce n’est pas la qualité des polices qui fait la qualité d’un manuscrit. De plus, le foisonnement typographique gêne la lecture et fausse la perception. Restez simple et lisible.
Pour les romans et récits n’abusez pas des attributs de caractère (italiques, gras, souligné…) Une œuvre littéraire ne comporte que des caractères romains (droit) et un peu d’italique dans des cas bien précis définis par le code typographique.
Le format A4 est un format standard.
Gardez une bonne marge à gauche pour des annotations éventuelles et/ou la reliure à spirale.
Ne serrez pas l’interlignage pour une lecture aisée.
Au cours de votre travail d’écriture, utilisez plutôt un double interligne pour pouvoir noter vos corrections.
Ménagez un retrait de texte en début de paragraphe, afin de distinguer le paragraphe quand la ligne qui précède est pleine.
Faire la toilette d’un manuscrit consiste à le débarrasser des fautes d’orthographe, des fautes typographiques, des abréviations…. L’Editeur remarque du premier coup d’œil si ce travail a été fait.